Un sondage effectué parmi 2000 jeunes femmes britanniques actives âgées de 18 à 35 ans montre que 28% d'entre elles ont déjà eu une relation sexuelle sur leur lieu de travail, soit plus d'une personne sur quatre! (Source: Reuters news service, sondage réalisé par le site féminin newwoman.co.uk)
Les lieux de prédilection pour les ébats sexuels sont les suivants:
L'étude révèle d'autres statistiques fort instructives sur l'état d'esprit de ces jeunes femmes: 82% avouent flirter avec leurs collègues de travail et 89% estiment que la drague au bureau est positive pour le moral et la confiance en soi.
Si 28% sont passées à l'acte sur le lieu même de leur travail, ce sont en tout pas moins de 61% des participantes au sondage qui déclarent avoir eu une relation sexuelle avec un collègue. Des chiffres qui laissent rêveurs!
Enfin, l'on s'aperçoit que les motivations de ces jeunes femmes sont parfois totalement dénuées de sentiments, puisque 20% d'entre elles seraient prêtes à coucher avec leur patron "indépendemment du fait qu'elles le trouvent attirant ou non" si cela pouvait contribuer à l'obtention d'une promotion.
Certains oublient toutefois que les bureaux sont parfois équipés de caméras vidéo!!!
Voir aussi: Sexe au travail: Nouveau sondage
mercredi 31 octobre 2007
Sexe au travail: Les jeunes femmes anglaises sont adeptes!
Publié par Squidd à 20:59 7 commentaires
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dimanche 28 octobre 2007
Adultère: Comment s'y prennent les femmes?
Le dernier sondage réalisé sur les statistiques de l'infidélité en France date de 2001. A peine 11% des femmes se disent prêtes à avoir une liason, chiffre ridicilement bas si on le compare aux résultats du fameux rapport Hite réalisé aux Etats-Unis, qui lui révèle que 70% des femmes mariées depuis 5 ans ou plus ont trompé leur mari.
Sans aucun doute, l'adultère est d'actualité pour la femme moderne. Pour s'en convaincre, il suffit de se rendre sur les sites web dédiés à la gent féminine. Ce sont ceux où il y a du rose partout, ainsi que des pubs pour les crèmes, les régimes et l'électroménager.
aufeminin.com, par exemple, consacre une rubrique complète au sujet...Il est surprenant de constater que pour la rédaction du site, l'infidélité est considérée comme une activité tout à fait banale, puisqu'on prend le soin de nous mentionner des règles d'or à respecter lorsque l'on cocufie son compagnon:
Un sondage est proposé à la fin de l'article: 44% des participantes ont déjà été infidèles, principalement par ennui dans le couple (dans 32% des cas) ou par coup de foudre pour un autre homme (28%). 66% pensent qu'il est préférable de ne pas avouer.
Pour ceux qui commenceraient à se faire des cheveux blancs, une petite vidéo humoristique relative au sujet afin de se détendre...
Publié par Squidd à 17:21 13 commentaires
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samedi 27 octobre 2007
Les couvertures de Oui-Oui détournées - Série#1
Imaginées par votre hôte...
Publié par Squidd à 23:39 0 commentaires
Evolution des pratiques sexuelles en France
La très sérieuse enquête "Contexte de la sexualité en france", rendue publique au cours de cette année, fournit un panorama complet sur la sexualité des Français au 21ème siècle, et également sur l'évolution des moeurs, puisque des enquêtes similaires avaient été réalisées en 1970 et 1992.
D'un point de vue général, les résultats sont prévisibles, et conformes aux effets de la libération sexuelle:
L'enquête met en évidence une continuité des divergences dans la représentation de la sexualité entre hommes et femmes. Si les femmes ont désormais une vie sexuelle plus diversifiée, comme le montrent les chiffres, elles restent toutefois peu nombreuses à envisager la sexualité en dehors du cadre d’une relation amoureuse. Ainsi, les hommes de 18 à 24 ans sont deux fois plus nombreux que les femmes à considérer que l’on peut avoir des rapports sexuels avec quelqu’un sans l’aimer (57% contre 28%).
L'enquête conclut que "ces divergences s’inscrivent dans une vision du monde qui voit dans la les différences biologiques la cause essentielle des différences hommes/femmes en matière de sexualité", avec à l'appui, la statistique suivante: Les femmes et, dans une moindre mesure, les hommes adhèrent majoritairement à l’idée selon laquelle les hommes auraient "par nature plus de besoins sexuels que les femmes" (75% des femmes et 62% des hommes).
Notons le caractère sexiste de l'étude, qui considère le recours à la prostitution comme une activité exclusivement masculine. Un récent article publié sur ce blog prouve pourtant le contraire...
Publié par Squidd à 11:13 1 commentaires
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mardi 23 octobre 2007
Humour anglais
L'utilisation de supports originaux pour assurer la promotion de la police donne à ce Bobby une image pour le moins virile...
Publié par Squidd à 17:45 0 commentaires
lundi 22 octobre 2007
Sexisme à la télé: Carton rouge à Envoyé Spécial
En matière de délire féministe, je crois que le reportage Gambie, Charter pour l'Amour, diffusé par France 2 dans le magazine Envoyé Spécial atteint des sommets. On y traite d'un sujet brûlant: le tourisme sexuel.
Conséquence directe de l'explosion des flux de migrants ainsi que du décalage croissant entre les pays pauvres du sud et les pays riches du nord, ce phénomène est à juste titre communément considéré comme un fléau, une instrumentalistion de l'être humain, une industrialisation des corps. En payant pour un service, sexuel en l’occurrence, le touriste sexuel achète la liberté d’une personne sur laquelle, un temps compté, il a tous les droits. Y compris celui de réduire cette personne à l’état de "bien" marchand.
En Gambie, débarquent chaque semaine des milliers de femmes venues de toute l'Europe (Pays-Bas, Allemagne, Angleterre, Suède, France) qui exploitent sans le moindre scrupule la misère humaine et s'achètent à bas prix durant leur séjour la compagnie d'un Bombstar obligé de se prostituer pour survivre, aider sa famille et tenter d'échapper à son destin. La reporter présente ces hommes, mineurs pour une partie, de la façon suivante:
"Sans emploi, sans avenir, ils vivent aux abords des plages et sont à l'affut de la moindre commission qui les aidera à survivre. Leurs proies, les touristes européennes qui affluent ici en masse"
Comment peut-on dans un tel contexte justifier l'usage de poncifs féministes qui consistent à présenter systématiquement la Femme comme une victime? Il est, à mon sens, particulièrement indécent de tenter d'inverser les rôles ici. Les proies ce sont les prostitués, les prédatrices, les touristes.
Plus loin,on nous présente Odette, qui vit désormais "7 mois de l'année loin de sa Hollande. Là bas, elle laisse derrière elle 2 enfants, une vie bien organisée, et une brillante carrière d'informaticienne. A 48 ans, Odette a enfin décidé de s'occuper d'elle". Ici également, la journaliste déculpabilise le personnage, en présentant le tourisme sexuel comme une simple activité de loisir, une alternative à un possible séjour en thalassothérapie où l'on "s'occupe de soi".
Encore plus fort, l'histoire de Nora: "Nora a rencontré son compagnon il y a 6 ans, alors qu'elle était en vacances avec son mari (...) Pour Nora, le coup de foudre a été immédiat, sans appel (...) J'ai été tellement saisie, que j'ai fait une photo, et cette photo...je suis tombée amoureuse avec cette photo...juste avec la photo." La suite? "Nora a tout quitté: Son mari, son travail, son pays, l'Allemagne"
Tout nous est présenté comme si Nora était une victime. La vraie victime dans l'histoire, n'est-ce pas le mari qui est parti en vacances avec sa femme et qu'on abandonne sur un coup de tête, pour une utopique relation amoureuse, pour une histoire sans aucun avenir possible puisqu'une des deux parties agit sous la contrainte avec pour unique objectif de tenter d'échapper à sa condition de misère?
A cet égard, le témoignage d'un jeune Gambien, pris dans l'engrenage, ne laisse d'ailleurs planer aucun doute: "Ce n'est pas bon pour moi. Je ne suis pas heureux de faire ça. On le fait tous parce qu'on est pauvre, on doit se nourrir, nourrir sa famille. Et puis chez nous, même si on est pauvre, on a des principes. Quand vous êtes avec une femme blanche et vous dîtes je suis amoureux, certains vous disent c'est pas vrai, elle se sert de toi (...) Notre loi est claire: Quand on est musulman, on n'a pas le droit d'avoir de petite amie en dehors du mariage. Sans la pauvreté, personne ne ferait ça ici..."
Nora est amère que son compagnon fréquente désormais d'autres touristes, mais à ses demandes de mariage, à sa volonté d'aller en Europe, elle n'a jamais rien répondu d'autre que "Je ne pourrais pas faire ça, je n'ai plus rien à faire là-bas"
Publié par Squidd à 20:56 0 commentaires
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samedi 20 octobre 2007
Helena et les garçons (Partie 1)
L'autre jour, j'avais rendez-vous pour boire un verre sur la terrasse intérieure d'un bar branché avec ma collègue Helena, secrétaire au département des Ressources Humaines. Arrivé un poil en avance, je m'installe sur l'un des canapés design de l'endroit, chassis en bananier tressé, vastes coussins moelleux couleur écru, l'ensemble reposant sur un caillebotis fait de teck et bordé d'une table basse style colonial assortie.
Je balaie du regard la clientèle encore disparate qui vient se distraire après les heures de travail et profiter de l'ensoleillement généreux en ce début de week-end aoûtien. Trois fiers jeunes loups cravatés se tiennent en cercle au bar, cocktail mojito en main, probablement occupés à passer en revue les événements de leur semaine surchargée d'auditeurs financiers juniors transpirant d'ambition carriériste.
Plusieurs autres groupes mixtes semblent passer un bon moment autour d'une bière. Plus en retrait, un playboy d'une quarantaine d'années à la crinière poivre et sel, et une femme d'environ quinze ans sa cadette sont assis face à face, penchés l'un vers l'autre et semblent pratiquer impunément le jeu de la séduction. A coup sûr un chef d'entreprise qui rêve de se farcir la nouvelle employée de la compta dans un sous-bois, sur le capot de sa SL500.
Voici qu'apparaît Helena. Elle maîtrise parfaitement le numéro d'équilibriste imposé par ses escarpins italiens à talon aiguille et au bout si pointu qu'un frisson me parcourt l'échine, m'imaginant les dégâts qu'ils pourraient infliger, par derrière, aux testicules d'un adepte de pratiques SM à quatre pattes, tenu en laisse cloutée et masqué par une cagoule en latex.
La lumière donne à ses yeux un ton turquoise improbable, tranchant radicalement avec le foncé de ses cheveux mi-longs et de sa peau basanée en cette période estivale.
Alors qu'elle se dirige vers moi en souriant, je me délecte du spectacle prévisibles de tous les regards masculins instantanément aimantés vers les attributs de la belle. Sa poitrine kittée par un soutien-gorge resserrant/baleiné/rembourré ou je ne sais quelle autre illusion d'optique semble opulente, et le tombé de son ample tailleur en lin masque parfaitement une légère culotte de cheval inhérente au manque de temps qu'elle est en mesure de consacrer à la lutte pour la réduction de son taux de masse lipidique.
Car Helena, qui m'a désormais rejoint et s'est allumé sans tarder une cigarette extra-longue, fait partie de ces femmes indépendantes et libérées du joug de la dictature masculine, incapables de gérer leur emploi du temps surchargé. Mariée à son premier amour au sortir de l'adolescence, elle vient de divorcer à l'aube de ses trente ans, selon un scénario classique et quasi inéxorable, en ayant bien entendu préalablement donné naissance à un enfant aujourd'hui âgé de quatre ans, dont elle éprouve les plus grandes difficultés à assumer l'éducation. Il faut dire qu'en ce moment, elle se consacre plutôt à la reconstruction de sa vie sentimentale.
"Désormais, je veux un homme juste pour les bons moments! Les chaussettes, ils n'ont qu'à les laver eux-mêmes"
Je lui demande si elle a fait des rencontres dernièrement, tout en connaissant déjà la réponse puisqu'on m'a rapporté qu'elle affichait ouvertement ses intentions depuis quelques temps dans les endroits à la mode de la ville jusque pas d'heure. Elle s'est apparemment même adonnée récemment à un lesbo-show plutôt explicite en compagnie d'une de ses compagnes d'aventure sur les tables d'un club, portée par le regard lubrique et alcoolisé de dizaines de prédateurs en semi-érection, ravis de l'aubaine.
"Il y a deux semaines, j'ai passé le week-end sous la couette, avec un italien de Bari qui était de passage...On l'a fait au moins dix fois. Il m'a dit qu'il allait m'inviter chez lui, mais je n'ai pas eu de nouvelles depuis" m'indique-t-elle.
"Tout à l'heure, j'ai reçu un sms d'un mec que j'ai rencontré en boîte. Il m'a proposé de venir me détendre chez lui dans son jacuzzi, mais je n'ai pas le temps. Je dois récupérer la petite chez ma mère. En fait, je vais pas donner suite, car j'ai RV avec un autre homme. C'est un footballeur...Son équipe joue demain. Il m'a invitée au match"
Après avoir sirotté trois kirs, alors que le soleil commence à tomber et que la température fraîchit, Helena et moi nous quittons. Elle s'en retourne chez elle, pour se consacrer à sa deuxième vie, celle de mère, et je lui souhaite beaucoup de chance dans sa quête de l'âme soeur.
(A suivre...)
Publié par Squidd à 20:22 1 commentaires
vendredi 19 octobre 2007
Les femmes matent plus que les hommes !
Deux chercheurs du Centre de Neurosciences du Comportement d'Atlanta (CBN) ont utilisé des techniques d'eye-tracking pour analyser la direction du regard d'hommes et de femmes lorsqu'on leur soumet des photographies à caractère sexuel.
L'étude démontre que le comportement des femmes est lié à leur statut hormonal (les femmes sous contraception hormonale portent leur attention plus facilement sur les parties génitales des messieurs) et met fin à de nombreux clichés puisque:
L'étude prouve donc bien que la vidéo ci-dessous n'est que pure fiction...
Publié par Squidd à 13:46 1 commentaires
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jeudi 18 octobre 2007
Nicolas et Cécilia Sarkozy: Chronique d'un divorce annoncé
Les comportements de Cécilia étaient flagrants, mais les médias français semblaient paralysés par l'omerta. De la fameuse angine blanche foudroyante qui l'a frappée en plein mois d'août, la privant du barbecue chez les Bush, à l'incident du 14 juillet, lorsqu'elle dégage son bras que Nicolas a saisi pour tenter de sauver les apparences, la première dame n'était, à l'évidence, plus d'humeur à poursuivre l'aventure débutée en 1996.
Ces derniers jours, la presse relate plusieurs séjours sur les bords du Lac Léman, alors que son avocat tente de démentir. Elle entretiendrait une nouvelle relation cachée.
Durant l'été 2005 déjà, elle avait rejoint son amant de l'époque à New-York, le publicitaire Richard Attias, faisant la une des journaux.
Nicolas s'était consolé pendant ce temps auprès de la journaliste politique Anne Fulda. Plus récemment, en pleine campagne présidentielle, on a prêté à Cécilia une aventure avec l'écrivain Marc Lévy, qu'elle-même ne semblait pas démentir devant la caméra.
Derniers rebondissements en date, le président est vu, tenant une lettre au contenu évocateur: « J’ai l’impression de ne pas t’avoir vu depuis une éternité et tu me manques. Jeudi on part faire notre virée à Essaouira pour mon (illisible). Mais j’aimerais bien réussir à te voir la semaine ou le week-end suivant. Millions de Besitos. » Selon les dernières rumeurs, c'est Rachida Dati, actuelle Ministre de la Justice et proche de l'ex première dame de France qui serait la nouvelle maîtresse du président.
Doit-on vraiment s'étonner de cette issue et de ces multiples entorses aux règles du mariage de la part du couple présidentiel? Que nenni...En 1984, Cécilia se marie à Jacques Martin, ex truglion du PAF, décédé récemment. C'est le jeune maire de Neuilly, un certain Nicolas Sarkozy, 29 ans, lui-même marié, qui célèbre l'union. Les deux couples deviennent proches, jusqu'à partir en vacances ensemble. Nicolas convoite Cécilia, qui ne tarde pas à céder à ses avances.
On raconte que la première femme du président aurait demandé le divorce en ayant vu, lors d'un séjour au ski passé avec les Martin, les traces de pas de son mari dans la neige, menant vers la fenètre de Cécilia. Adultère un jour, adultère toujours...
Publié par Squidd à 19:34 1 commentaires
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