samedi 21 février 2009

Piroska Nagy a balancé sur DSK


Rebondissement dans l'affaire du scandale DSK au FMI, suite à sa love affair avec sa désormais ex-subordonnée, Piroska Nagy. Bêtes humaines s'était, à l'époque, fait une joie de relater les aventures américaines du Frenchie dont la libido démesurée est à la hauteur du défraiement médiatique généré, ici.


L'Express révèle cette semaine les passages affligeants d'une lettre envoyée le 20 octobre par Piroska aux agents chargés de l'enquête mandatés par le FMI:

"M. Strauss-Kahn a abusé de sa position pour entrer en relation avec moi."

"Je n'étais pas préparée aux avances du directeur général du FMI. [...] J'avais le sentiment que j'étais perdante si j'acceptais, et perdante si je refusais."

"Je crains que cet homme [DSK] n'ait un problème qui, peut-être, le rend peu apte à diriger une organisation où travailleraient des femmes."

D'après ces extraits, Piroska est donc l'innocente victime d'un harcèlement sexuel, perpétré par l'odieux agité de la queue. La réputation déjà ternie de DSK risque d'en prendre encore un coup. Mais Mme Nagy ne sort certainement pas grandie de l'affaire, car ses paroles sont également révélatrices de quelques incohérences qui jettent franchement le doute sur la crédibilité de ses propos.

J'imagine très bien que DSK ait fait usage de son autorité hiérarchique pour solliciter Piroska. Cependant, j'ai du mal à concevoir qu'un ordre verbal suffise à convaincre une femme mariée intègre d'avoir des relations sexuelles avec son supérieur.
D'autant plus qu'occupant de telles fonctions (Elle était responsable du département Afrique au moment des faits), on peut penser qu'elle est capable de faire preuve d'un minimum de recul et de sang-froid.
Ses dires, "J'avais le sentiment que j'étais perdante si j'acceptais, et perdante si je refusais", attestent qu'elle n'a pas cédé à la panique, puisque elle a pris le temps de peser le pour et le contre.
Elle nous explique qu'elle a fait ses calculs et qu'elle en a déduit que quoi qu'elle fasse, elle aurait à subir des conséquences néfastes. Et là, on se dit que si elle était sûre de perdre dans les deux cas, elle aurait très bien pu choisir de perdre sans écarter les jambes, non?
D'où la question du jour: Piroska Nagi est-elle une blanche collombe ou une carriériste calculatrice ayant du mal à assumer ses écarts sexuels?

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dimanche 8 février 2009

Arnaque sur Facebook pour obtenir des faveurs sexuelles


Un adolescent de 18 ans, Anthony Stancl, originaire de New Berlin, près de Milwaukee, est accusé de s'être fait passer pour une fille sur Facebook afin de duper ses camarades d'école. Sous sa fausse identité, il les a convaincus de lui envoyer des photographies ou vidéos d'eux-mêmes nus. Il a ensuite menacé ses victimes de publier le contenu compromettant si elles ne lui consentaient pas des faveurs sexuelles.

Le jeune homme aux tendances homosexuelles encourt 300 années de prison et devra répondre de multiples chefs d'accusation: Détournement de mineur, agression sexuelle de second degré, agression sexuelle de troisième degré, détention de matériel à caractère pédophile, agression sexuelle répétée sur le même mineur, ainsi qu'alerte à la bombe.

C'est effectivement en interrogeant Stancl suite à une alerte à la bombe envoyée à ses professeurs et tagguée sur les murs des toilettes l'école que les enquêteurs sont tombés sur les preuves des autres malversations commises entre le printemps et l'automne 2007. Sous l'identité de Kayla ou Emily, il a fait chanter 31 personnes, agées de 13 à 19 ans au moment des faits.

Une recherche dans le cache de Google montre une page Twitter où anthony évoque l'alerte à la bombe dont il est l'auteur.
Bien plus gênant, le jeune homme tenait un blog, aujourd'hui supprimé, sur le site de soutien à Barack Obama. Les traces sont encore présentes en cache, ici. et puisqu'elles ne devraient pas le rester longtemps, mieux vaut garder une capture d'écran...





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dimanche 1 février 2009

Sexe au travail: nouveau sondage


Le lieu de travail est en passe de devenir l'endroit n°1 pour faire des rencontres amoureuses. Pour une certaine catégorie de la population du moins (condition minimale requise: faire partie de la population active). En cause: misère affective grandissante (particulièrement en milieu urbain) et politique du "Travailler plus..." qui fait qu'on passe plus de temps au travail que partout ailleurs.

Placez des individus de sexe opposé entre quatre murs du matin au soir, ils ne tardent pas à s'accoupler, d'autant plus qu'en entreprise, les collaborateurs (compétents) se montrent sous leur meilleur jour: Dynamiques, entreprenants, créatifs et donc attractifs pour l'autre sexe. Un sondage organisé par le sex shop online australien adultshop.com révèle que seuls moins de 17,5% des participants n'ont jamais éprouvé d'attirance pour quiconque sur leur lieu de travail et que plus de 48% d'entre eux ont déjà eu une relation sexuelle avec un collègue.

La version américaine du magazine Marie Claire va jusqu'à prodiguer des conseils à ses lectrices déterminées à concilier "Office et orifice" sic:

#1: Choisir son partenaire parmi le personnel de niveau hiérarchique identique, afin d'éviter les foudres du département RH et les accusations de harcèlement sexuel.

#2: Définir dès le début de l'histoire les règles à appliquer si la relation doit redevenir platonique: Pas de pleurs, pas de ressentiment, pas de révélations vengeresses.

#3: Rester distante: Pas de contact physique, pas de regards évoquateurs. Les caméras de surveillance ainsi que les collaborateurs observateurs et perspicaces auraient vite fait de vous confondre

#4: Ne se confier à personne, pas même à sa collègue la plus proche. La notion de secret en entreprise n'existe pas, et la moindre dérogation à la règle du silence est immanquablement synonyme de propagation éclair de l'information

#5: Le jour où l'on vous confond, niez en bloc s'il n'existe aucune preuve matérielle de la liaison (conseil et attitude très américains). Mais gardez votre CV à jour, car l'un des deux au moins risque de se retrouver sur le marché du travail

Voir aussi: Sexe au travail: Les jeunes femmes anglaises sont adeptes!

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